Catéchèse du cardinal Philippe Barbarin

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Ce pèlerinage en mémoire des prêtres déportés nous donne une belle occasion de parler de la vocation et de la prière pour les vocations.

Partons de la conviction simple que Dieu fait attention à nous ; Il prend soin de son peuple comme d’un fils. C’est ainsi que doit être entendue l’expression de la Vierge Marie, traduite dans le Magnificat par : « Il relève Israël son serviteur. » Le verbe utilisé (en grec antilambanô) signifie l’action d’un père qui prend en main son garçon, et même qui le reprend quand il en a besoin, parce qu’Il l’aime d’un amour paternel fort et que rien ne le détournera de sa mission à son égard. Souvent, je pense à cette phrase du Magnificat, en voyant notre Eglise de France aujourd’hui. Nous savons qu’elle est aimée par un Père fidèle à ses promesses, dont « la miséricorde s’étend d’âge en âge » – c’est la promesse faite à Abraham, et elle est toujours valable aujourd’hui. Que nul ne se décourage, Dieu prend soin de nous ! Mais il est vrai que nous avons aussi besoin d’être repris par la main, d’être réveillés, relevés !

1. L’appel de Dieu, la vocation, c’est fondamental et constitutif de l’Eglise

Parcourons une grande page d’Evangile qui s’étend de Luc 9, 51 à la fin du chapitre 10. Après avoir accompli de nombreux miracles et vécu sur la montagne la Transfiguration, qui est comme le sommet de tout son ministère en Galilée, Jésus prend le chemin de Jérusalem. « Son visage est durci », note le texte, et cette tension est perceptible aussi chez les Apôtres, en particulier par la remarque de Jacques et Jean, qui leur vaut d’être sévèrement remis en place par le Seigneur (9, 54-55). Dans les villages de Samarie où il doit passer, Jésus est mal reçu. Un peu plus loin, il envoie ses disciples en mission avec des consignes précises (10, 1-12). Puis, on voit les soixante douze revenir tout joyeux ; ils se vantent même un peu du succès de leur mission (10, 17). Mais Jésus leur demande de se réjouir, non pas de ce qu’ils ont réussi, mais de la victoire de Dieu contre Satan qui « tombe du ciel comme l’éclair », et du fait qu’ils ont été l’instrument de Dieu dans cette aventure : « Réjouissez-vous parce que vos noms sont inscrits dans les cieux » (10, 18-20).

A ce moment-là, comme pour nous donner un exemple de ce qu’est la vraie joie, celle qui habite un cœur pur, Jésus « exulta de joie sous l’action de l’Esprit Saint » (v. 21). La cause de notre joie, c’est le déploiement de la bonté de Dieu au milieu des hommes. C’est ce que Jésus voit et chante, et il explique à ses proches la joie qu’ils doivent ressentir : leurs yeux et leurs oreilles voient et entendent ce qui était attendu et espéré depuis des siècles : le Messie est venu faire déferler sur la terre l’amour de Dieu.

C’est pour cela que la parabole du « Bon Samaritain » est située à cet endroit de l’évangile de Luc. Elle nous décrit le chemin, on pourrait dire le plongeon de la miséricorde divine, qui a fait un grand voyage pour se pencher sur le bord de la route où l’homme agressé par des bandits gisait, à moitié mort. Personne ne s’était vraiment arrêté auprès de l’homme et de sa misère, jusqu’à ce que le Bon Samaritain – image du Messie, ce Fils bien aimé en qui le Père a mis tout son amour – « qui était en voyage » (c’est le grand voyage de l’Incarnation), arrive près de lui et, « saisi de pitié », prenne soin de lui, panse ses plaies et l’emmène… nous emmène jusqu’à l’hôtellerie où l’hôtelier dépensera sans compter, pour que nous soyons totalement guéris (vv. 33-35).

Vient alors l’histoire bien connue de Marthe et de Marie : dans leur maison, Jésus est comme chez lui, accueilli avec grande délicatesse. Il parle, Marthe travaille pendant que Marie est aux pieds de Jésus, à l’écouter, puis il partage leur repas (vv. 38-42). C’est cela l’Eglise, une maison où Jésus nous enseigne et où nous participons à la table de Dieu, en recevant « le pain vivant, descendu du ciel » (Jean 6, 51) pour nous nourrir, comme nous le ferons dans un instant, en participant à l’Eucharistie.

Cette suite d’épisodes de l’Evangile nous présente l’image de l’Eglise en plein mouvement : Jésus a répondu à l’appel de Dieu, il a proclamé l’Evangile parmi les hommes, avec un grand succès mais non sans rencontrer de nombreuses difficultés. Puis, il a envoyé les disciples en mission. Leur retour joyeux montre la communion fraternelle qui existe entre Jésus et ses disciples, et la nécessité où il se trouve de les corriger et de leur ouvrir les yeux sur un mystère plus grand que ce qu’ils avaient vu. Un peu plus loin, nous arrivons, grâce à Jésus, notre Sauveur, à l’auberge du bon samaritain où nous sommes soignés et guéris (comme dans les sacrements du pardon ou de l’onction des malades), pardonnés de nos péchés. Enfin, tout cela se termine dans la maison de Marthe et de Marie, belle image de l’Eglise, où nous mangeons le pain de Dieu et écoutons sa Parole. Il est important de montrer l’ensemble de cette fresque, de faire tout ce parcours, car nombreux sont les chrétiens qui connaissent ces différents épisodes, mais rares sont ceux qui savent qu’ils se suivent et qui comprennent pourquoi.

C’est justement au milieu de ce passage que vient l’invitation de Jésus à prier pour les vocations : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson » (Luc 10, 2). Nous vérifions ainsi que la vocation et la mission sont liées, et à quel point le mot vocation est un mot central : il faut des vocations pour la mission. La notion d’appel est dans l’étymologie même du mot Eglise. L’Eglise naît de l’appel de Dieu, elle est la communauté de ceux qui se sont réunis, parce qu’ils ont entendu cet appel lancé par le Christ et lui ont répondu, décidés à devenir ses compagnons et ses collaborateurs. Une étape qui compte, dans l’initiation chrétienne, est celle de la confirmation. Ce sacrement, appelé aussi « chrismation », n’est donné normalement que par l’évêque. Ce jour-là, le baptisé est configuré de manière plus profonde au Christ et invité à entrer avec les autres disciples dans la mission du Christ qui construit son Eglise. Dans son initiation chrétienne, le baptisé a ainsi, au moins une fois, un contact direct avec l’évêque, successeur des Apôtres. A cette occasion, il touche les fondations de l’édifice.

La vie de l’Eglise est donc fondée sur l’appel : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et établis… », dit le Seigneur (Jean 15, 16). Chacun doit donc répondre à cet appel et demander la grâce de comprendre quelle est sa vocation. Les chemins qui nous sont proposés, et sur lesquels le Christ nous envoie, sont très variés, mais ils sont tous une réponse à son appel. Le concile Vatican II enseigne clairement que tous les baptisés sont appelés à la sainteté (Lumen Gentium, ch 5 : « L’appel universel à la sainteté »). A cet appel, quel qu‘il soit, chacun doit répondre « oui », dans la logique de la demande qui est au cœur du Notre Père… et du christianisme : « Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel ». Je pense que la pastorale des jeunes doit avoir comme objectif de conduire les jeunes à la grande porte de leur vie, vers le « oui » fondamental de leur existence. Et cela se fait en les éduquant à vivre tous les petits « oui » de la vie quotidienne : le travail scolaire, les services à rendre, la prière de chaque jour et la messe du dimanche, la fidélité aux engagements pris, à l’amitié, etc… Mais nous connaissons la fragilité de nos promesses, et il faut lier nos pauvres « oui » à celui du Christ, comme dans le sacrement du mariage où le Christ scelle l’alliance des époux dans celle qu’il a établie avec son Eglise. C’est pourquoi j’aime dire avec les jeunes du MEJ leur belle prière : « Apprends-nous, Seigneur, à redire ton oui dans chacun de nos actes. »

Ce « oui », Jésus ne le dit, à ma connaissance, qu’une seule fois dans l’Evangile, et c’est précisément dans le passage que nous commentons. « A ce moment, Jésus exulta de joie sous l’action de l’Esprit Saint », comme s’il voulait montrer aux disciples quelle est la vraie joie, celle qui est pure et dépouillée de tout. Et il dit : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux riches et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits ; oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bonté ! » (Luc, 10, 21). Ce « oui » de Jésus nous sert de modèle. Ce que nous pouvons faire de mieux, c’est de dire « oui » à Dieu comme Jésus l’a fait, avec la même attitude intérieure que la sienne [2].

Evidemment, lorsque nous voyons comment ce « oui » a conduit le Seigneur jusqu’à la croix, nous mesurons qu’il faut un brin de folie pour répondre à l’appel de Dieu et nous lancer sur le chemin extraordinaire d’un oui sans retour, celui du mariage, du sacerdoce ou de la vie consacrée. La Bible, d’ailleurs, nous donne plusieurs exemples d’appels qui font trembler ceux qui les reçoivent, et qu’on pourrait lire en parallèle : Moïse au buisson ardent (Exode 3), le quadruple appel de Samuel qui répond finalement « Parle, ton serviteur écoute » (1 Sam 3, 1-14), Isaïe et Jérémie qui ne cachent pas leur effroi : « Malheur à moi, je suis perdu ! Car je suis un homme aux lèvres impures… » (Isaïe 6) ou « vraiment, je ne sais pas parler, car je suis un enfant » (Jérémie 1). Quand l’ange Gabriel appelle la Vierge Marie, le récit de l’Annonciation nous rapporte qu’« à cette parole, elle fut toute bouleversée » (Luc 1, 29). Cela ne l’empêche pas de poser une question claire : « Comment cela va-t-il se faire puisque je suis vierge ? » (v. 34) ; ainsi, nous sommes sûrs que sa réponse sera libre. L’ange confirme alors l’appel de Dieu avec des mots très difficiles, qui ne répondent guère à la question qu’elle vient de poser. Mais, par miséricorde, il lui donne un indice concret, facile à vérifier de l’intervention de Dieu, et il lui parle d’Élisabeth, la vieille femme stérile : « Elle en est à son sixième mois ». Et Marie part en hâte à sa rencontre. Dans ces récits, la structure est toujours la même : un appel de Dieu, l’effroi de celui ou celle qui le reçoit, la confirmation de l’appel et un signe concret ou une personne qui nous aide à répondre oui.

Celui qui pense à devenir prêtre ne vit-il pas un chemin analogue ? Un appel qui provoque une certaine crainte, car les exigences sont grandes ; un temps de discernement intérieur dans la prière et avec un père spirituel, au cours d’une retraite ; une confirmation, un encouragement qui peut venir des proches, d’un prêtre que l’on connaît et qui vit son sacerdoce avec une joie, une humilité, une lumière… qui nous touchent. Nous sommes touts petits devant Dieu, et son appel nous dépassera toujours. Réfléchissons à quelques éléments de ce discernement qui aident notre liberté à s’engager complètement.

2. Comment savoir si j’ai la vocation ?

Il faut tenir compte de quatre critères qui peuvent aider dans le discernement :

  1. le désir que je ressens au fond de mon cœur : est-il juste, droit ? Qu’on ne méprise ni ne sous-estime jamais la parole d’un enfant ou d’un adolescent à ce sujet. On doit lui montrer qu’il a été entendu, écouté ; il faut lui donner des conseils adaptés, précis, et ne pas se contenter de lui dire : « Tu verras plus tard. » Il est trop jeune pour décider, mais pas trop pour y penser ! Au seuil de l’âge adulte, c’est parfois la liberté qui doit être libérée, pour qu’on permette à un jeune de constater que, malgré tant de difficultés ou objections, ce désir est réellement en lui, qu’il doit en tenir compte par respect pour lui-même, et que si tel est bien son appel, la grâce de Dieu ne lui fera jamais défaut.
  2. les besoins du monde : quels sont les plus urgents ? L’histoire du diocèse de Lyon est admirable dans son élan missionnaire. Plusieurs congrégations religieuses sont nées au sanctuaire de Fourvière. Vers 1830, le pape Grégoire XVI avait demandé des volontaires pour évangéliser l’Océanie ; les Maristes sont partis et ont compté quantité de martyrs. Trente ans plus tard, les Missions africaines de Lyon ne se sont pas laissé décourager par le nombre de jeunes missionnaires morts de la fièvre jaune ou de la malaria, et ils ont évangélisé l’Afrique de l’Ouest. Et aujourd’hui, qui viendra évangéliser les villes et les banlieues ? Qui parlera de Jésus aux jeunes générations ? Comment faire pour que nos campagnes ne deviennent pas des déserts ?
  3. le discernement. Il est à exercer avec ceux qui nous accompagnent et nous conseillent : l’Eglise, le père spirituel, la maîtresse des novices, le supérieur du Séminaire. Les désirs de chacun méritent attention, même ceux qui nous paraissent un peu fous ; sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, par exemple, voulait être prêtre, martyre, apôtre et prophète, tout à la fois. Cette ambition spirituelle pouvait paraître extravagante, mais elle en a découvert l’authenticité en lisant la comparaison de saint Paul sur les différents membres du corps, en 1 Co 12 : « Je compris que si l’Eglise avait un corps, composé de différents membres, le plus nécessaire, le plus noble de tous ne lui manquait pas, je compris que l’Eglise avait un cœur, et que ce cœur était BRÛLANT d’AMOUR ».
  4. la liberté profonde de l’intéressé. La liberté gardera toujours quelque chose de mystérieux, mais une vraie maturation permet normalement le cheminement d’un appel plus personnel et plus profond. Mais Dieu peut aussi faire irruption dans une vie, à l’improviste. L’équivalent du « coup de foudre » des amoureux peut exister pour une vocation. Mais cela doit être soumis à un discernement spirituel sérieux, et il faut savoir percevoir et dénoncer les pressions des uns ou la séduction des autres.

Ces quatre éléments peuvent éclairer, mais l’essentiel du discernement se joue dans le « cœur pur » ou l’intelligence droite de l’intéressé(e). Chacun doit être aidé, avec un grand respect, à découvrir la volonté de Dieu et à y obéir, dans la logique de la demande centrale du Notre Père : « Que ta volonté soit faite » (et non la mienne cf. Mat 26, 39).

3. Prier pour les vocations

Contentons-nous de quelques remarques et suggestions ! Est-ce que vous priez pour les vocations ? Certains répondront oui, d’autres non, et tout le monde, j’espère : « Pas assez » ! En effet, Jésus a insisté pour nous dire dit qu’il fallait « prier sans cesse et sans jamais se décourager », comme la veuve devant le juge inique, dans la parabole de Luc 18 (1-8).

  1. Pourquoi prier ? D’abord, évidemment, parce que nous en avons besoin. Certains disent qu’ils prient au long de la journée, dans leur vie concrète, et qu’il ne leur est pas nécessaire de consacrer un temps particulier à l’oraison. J’admire cette disposition intérieure ; elle montre la lumière spirituelle qui peut habiter toute notre vie, mais je pense qu’elle recèle aussi un mensonge. Car si Jésus se levait « bien avant l’aube » pour aller prier dans un endroit désert (Marc 1, 35), s’il avait besoin d’écouter son Père chaque matin, longuement, avant d’enseigner la Parole dans les villes et les synagogues, à combien plus forte raison nous ! Chaque matin, tout serviteur doit laisser le Seigneur « éveiller son oreille », avant de donner des paroles de réconfort à ceux qu’il rencontrera (cf. Is 50, 4).
    Les enseignements de Jésus sur ce point sont nombreux : « Toi, quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret ». Son exemple est encore plus parlant… que sa parole ! Non seulement Jésus prie chaque jour, mais il est toujours dans l’action de grâces. C’est frappant au moment de la résurrection de Lazare, où Jésus remercie Dieu de l’avoir exaucé, alors que son ami est encore dans son tombeau.
    L’Evangile nous donne à connaître certaines des intentions qui habitaient sa prière, et, en premier lieu, l’unité : « Qu’ils soient un, comme toi et moi, nous sommes un… » (Jean 17, 20-23). Et l’élément essentiel pour avancer dans l’unité, c’est le pardon mutuel. C’est pourquoi, sur les sept demandes qu’il vient d’énoncer dans le Notre Père, la seule qu’il commente aussitôt, c’est celle qui touche le pardon. Il est clair que c’est la plus difficile (Mat 6, 14), et l’on peut dire que presque tout le chapitre 18 de saint Matthieu est aussi un commentaire de cette cinquième demande, lorsque Pierre, un peu découragé, demande : « Seigneur, quand mon frère commettra des fautes contre moi, combien de fois dois-je lui pardonner ? Jusqu’à sept fois ? » (18, 1).
  2. Mais à quelles intentions nous a-t-il dit de prier ? A ma connaissance, il n’y a dans l’Evangile, que trois intentions de prière que Jésus nous recommande explicitement : « Priez pour ceux qui vous persécutent » (Mt 5, 44) ; « Priez pour ne pas entrer en tentation » (Luc 22, 46) ; « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson » (Luc 10, 2).
    C’est la plus développée des intentions, et peut-être la plus importante, parce qu’elle conditionne le reste. En effet, il faut prier pour les vocations, dans les périodes où elles sont nombreuses (je l’ai vécu comme une prière communautaire très joyeuse durant mes années de mission à Madagascar), et il faut prier tout autant dans les périodes où elles nous manquent durement, comme maintenant. Nous avons à le faire, parce que Jésus nous le demande. Le fruit, c’est Lui qui le donnera, car le Seigneur de l’Eglise, c’est Lui.

Pour terminer, je voudrais vous donner un beau rendez-vous, pour vous rappeler de prier pour les vocations. Il est tout simple, ce qui aide à ne pas oublier cette intention. Dans le Notre Père, quand vous dites : « Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour », vous pouvez compléter : …Donne-nous aussi, Seigneur, les boulangers, c’est-à-dire des prêtres pour nous cuire le pain eucharistique, et des diacres pour le distribuer. Et après « Pardonne-nous nos offenses », vous ajoutez intérieurement : « Appelle aussi des prêtres qui nous donneront ton pardon, et des diacres pour célébrer « le baptême pour la rémission des péchés ». »

Philippe, cardinal Barbarin,

26 août 2009

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