Films sur la vocation religieuse

affiche les innocentes

Après la clôture de l’Année de la vie consacrée ce dimanche, deux films diffusés en salles vont replonger le public dans le contexte de la vie religieuse du XXème siècle, l’un en Pologne, l’autre au Québec. Il s’agit de deux films qui posent la question de la foi et de la vocation religieuse dans un contexte qui se sécularise.

Les Innocentes d’Anne Fontaine (France) sortie le 10 février.

Pologne, décembre 1945. Mathilde Beaulieu, une jeune interne de la Croix-Rouge chargée de soigner les rescapés français avant leur rapatriement, est appelée au secours par une religieuse polonaise. D’abord réticente, Mathilde accepte finalement de la suivre dans son couvent où trente Bénédictines vivent coupées du monde. Elle découvre que plusieurs d’entre elles, violées par des soldats soviétiques, sont sur le point d’accoucher. Peu à peu, se nouent entre Mathilde, athée et rationaliste, et ces religieuses, attachées aux règles de leur vocation, des relations complexes que le danger, la clandestinité des soins et de nouveaux drames vont aiguiser…


La Passion d’Augustine de Léa Pool (Canada) sortie le 30 mars.

Simone Beaulieu, devenue Mère Augustine, dirige avec succès un petit couvent au Québec. Passionnée, résiliente, Mère Augustine met toute son énergie et son talent de musicienne au service de ses élèves.
L’école est un joyau musical qui rafle tous les grands prix de piano où les murs respirent la musique. Il y résonne un flot de gammes, d’arpèges, de valses de Chopin et de fugues de Bach. Mais lorsque le gouvernement instaure un système d’éducation publique au milieu des années soixante, l’avenir de Mère Augustine et de ses sœurs semble menacé…

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