Rendez-vous avec les séminaristes de France !

Du 1er au 3 décembre 2023, tous les séminaristes de France se rassemblent à Paris pour partager la joie de leur appel à devenir prêtre au service de l’Église.

Sur le thème

« Dieu est fidèle, Lui qui vous a appelés » (1Co 1, 9)

Nous vous invitons à les rejoindre lors de 2 moments en particuliers :

  • La veillée de prière à Montmartre le samedi 2 décembre à 20h30
  • La messe à Saint-Sulpice le dimanche 3 décembre à 11h.

Un programme riche leur sera proposé :

    • pèlerinage dans Paris,
    • enseignements autour des figures de saint Charles de Foucauld et de saint François-Xavier,
    • temps de mission et de prière, notamment à la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre et sur le parvis de Notre-Dame.

Au sujet de l’appel au sacerdoce, nous rappelons ces convictions  écrites il y a 2 ans et intégrées dans le chapitre 3 de la Ratio nationalis pour la formation des prêtres :

Notre première conviction est la joie qu’il y a à servir le Seigneur comme prêtre ! La joie de répondre à un appel qui vient du coeur de Dieu. La joie de donner sens à sa vie. La joie de choisir une voie de l’amour épanouissante et féconde. Oui, être prêtre aujourd’hui à la suite de Jésus peut combler la vie de celui qui dit Oui à Dieu. Cela vaut la peine !

Notre seconde conviction est que le célibat ecclésiastique est un don que le Seigneur fait à son Église. Nous croyons en la valeur prophétique particulière de la vie consacrée : elle est témoignage joyeux de la gratuité de l’amour. Elle est un stimulant de la charité pastorale. En soulignant le dévouement total à Jésus et aux autres, le célibat est vraiment un don de Dieu. Il n’est ni isolement des autres, ni enfermement sur soi-même. Mais il a besoin aujourd’hui de l’appui d’une vie fraternelle plus intense pour porter toutes ses promesses et éviter d’être un fardeau.

Enfin, nous affirmons que la Pastorale vocationnelle est bien le trésor de toute l’Église. L’Église est vocationnelle, et elle promeut une culture vocationnelle. La question de la vocation n’est donc pas à déléguer à certains, dans les séminaires ou dans la Pastorale des Jeunes. C’est la tâche de toute l’Eglise. Dieu ne cesse d’appeler et cet appel, nous l’entendons au cœur d’une Église missionnaire, remplie de la soif d’annoncer le Christ à nos contemporains.

Il existe un lien particulier entre pastorale des jeunes et pastorale vocationnelle. Comme dit François, la pastorale vocationnelle repose, naît et se développe dans la pastorale des jeunes. Pour sa part, la pastorale des jeunes, pour être dynamique, complète, efficace et vraiment formatrice, doit être ouverte à la dimension vocationnelle. Pastorale Jeunes et pastorale vocationnelle doivent « se tenir par la main ».

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